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À 11 ans, ce petit génie écrit un livre pour raconter son expérience à la fac



Maximilian Janisch, un jeune Suisse de 11 ans, suit des cours de mathématiques à l’université depuis plus d’un an. Il vient d’écrire un livre pour raconter son expérience de «garçon normal de dix ans ayant une passion pour les mathématiques et l’informatique».


«Si Maximilian va désormais pouvoir tranquillement se consacrer à sa passion, il ne serait pas surprenant que l’on réentende parler de lui un jour…» écrivait Le Figaro Etudiant dans un article d’octobre 2013 consacré à Maximilian Janisch. L’enfant de 10 ans venait d’être admis à suivre des cours de maths à l’université après avoir obtenu la note maximale à l’épreuve de mathématiques du baccalauréat suisse.

Et voilà qu’en effet, un an et demi plus tard, Maximilian refait parler de lui avec la parution de son livre Moi, un phénomène? 10 ans, à l’université, facile!. Dans cet ouvrage publié chez Favre, le jeune garçon souhaite «décrire (son) parcours dans les dédales du système scolaire, de mettre sur papier ce qui se passe dans (sa) tête et de tenter de définir la source de (sa) fascination pour les mathématiques, matière la plus belle et la plus innocente entre tous les arts». Son père, professeur de maths à la retraite qui lui donne désormais des cours particuliers tous les jours, l’a aidé à rédiger son livre.

Un génie des mathématiques également bilingue en français

Le jeune Suisse a été invité sur le plateau d’Europe 1 Midi animé par Wendy Bouchard pour raconter son expérience. Dans un excellent français, Maximilian - dont la langue maternelle est l’allemand - a expliqué à quel point il trouvait que «les maths sont importants dans notre vie» et a tenu à souligner en riant qu’il n’était «pas un extraterrestre»!
«Pas un extraterrestre»? Si Maximilian suit un cours spécial en mathématiques à l’université, il reste au Gymnasium (équivalent du collège-lycée) pour les autres matières… Mais tout de même avec 3 ou 4 ans d’avance sur ses camarades! «Précoce», «surdoué», «petit génie»: autant de qualificatifs qui semblent donc parfaitement adaptés au jeune garçon, qui doit cependant désormais affronter la concurrence de la jeune britannique Esther, 10 ans et déjà en licence de mathématiques.

avec lefigaro.fr

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