Vallée du fleuve Sénégal : Un pôle économique fort de ses atouts et opportunités
La célébration des trente années de
carrière musicale du leader du Dande Legnol, Baba Maal, a servi de cadre
pour la tenue d’un grand forum dans la capitale du Nord sur le
Programme national d’autosuffisance en riz. Une occasion saisie par le
directeur adjoint de la Saed pour montrer la place centrale de la Vallée
du fleuve Sénégal dans la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent.
En présence du Directeur général de la Saed, Samba Kanté, de la présidente nationale des « Feddé » (associations de développement), Mme Fatimata Sall Ndiaye Niwa et plusieurs autres invités de marque, le DG adjoint de la Saed, Seyni Ndao, a introduit une conférence publique sur « la contribution de la vallée du fleuve Sénégal dans le cadre de la mise en œuvre du Pse ».
Baba Maal a saisi cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux responsables de la Saed qui ont expliqué à l’assistance la vision du chef de l’Etat en matière d’autosuffisance en riz et de sécurité alimentaire.
Il s’est surtout réjoui de la confiance que le gouvernement et les populations ont placée en eux pour la réussite du Pse, qui devrait passer nécessairement par l’intégration agro-sylvo-pastorale et l’exploitation des énormes potentialités hydro-agricoles que recèlent le Delta et la Vallée du fleuve Sénégal. Mme Fatimata Sall Ndiaye Niwa a abondé dans le même sens, réitérant son engagement indéfectible à soutenir toutes les actions de développement entreprises par son ami Baba Maal, à collaborer étroitement avec le gouvernement en vue de permettre au chef de l'Etat de réaliser dans de très bonnes conditions le Pnar, le Pracas et le Pse.
Il a particulièrement insisté sur les importants investissements notés dans la vallée, avec des infrastructures routières, hydro-agricoles, sur un potentiel irrigable de 240.000 ha dont 120.000 ha aménagés et répartis entre les régions de Saint-Louis, Matam et le département de Bakel. L’Etat s’est également engagé à réaliser des infrastructures structurantes de dernière génération pour une garantie d’accès à l’eau, une protection contre les crues, un exutoire de drainage. Ces importantes réalisations, a-t-il enfin souligné, font que la vallée constitue un pôle d’attraction des investisseurs nationaux comme étrangers. En soutien à l’agriculture irriguée de la vallée, près de 200 milliards de FCfa sont financés par les partenaires techniques et financiers, compte non tenu des financements Bci dans le cadre du volet riz du Pracas (19,1 milliards pour la vallée en 2014).
En présence du Directeur général de la Saed, Samba Kanté, de la présidente nationale des « Feddé » (associations de développement), Mme Fatimata Sall Ndiaye Niwa et plusieurs autres invités de marque, le DG adjoint de la Saed, Seyni Ndao, a introduit une conférence publique sur « la contribution de la vallée du fleuve Sénégal dans le cadre de la mise en œuvre du Pse ».
Baba Maal a saisi cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux responsables de la Saed qui ont expliqué à l’assistance la vision du chef de l’Etat en matière d’autosuffisance en riz et de sécurité alimentaire.
Il s’est surtout réjoui de la confiance que le gouvernement et les populations ont placée en eux pour la réussite du Pse, qui devrait passer nécessairement par l’intégration agro-sylvo-pastorale et l’exploitation des énormes potentialités hydro-agricoles que recèlent le Delta et la Vallée du fleuve Sénégal. Mme Fatimata Sall Ndiaye Niwa a abondé dans le même sens, réitérant son engagement indéfectible à soutenir toutes les actions de développement entreprises par son ami Baba Maal, à collaborer étroitement avec le gouvernement en vue de permettre au chef de l'Etat de réaliser dans de très bonnes conditions le Pnar, le Pracas et le Pse.
Un pôle d’attraction des investisseurs
Quant à Seyni Ndao, il a rappelé que la
vision du chef de l’Etat obéit à une volonté d’accélérer la marche du
Sénégal vers l’émergence. Et dans ce cadre, l’agriculture constitue un
des secteurs productifs prioritaires pour placer l’économie sénégalaise
sur un sentier de croissance plus élevé et durable. Sur les six nouveaux
« moteurs » de croissance sectorielle, l’agriculture vient en troisième
position, en matière de financement, après les infrastructures et
services de transports et l’énergie. Pour Seyni Ndao, c’est dans cette
optique que s’inscrit le Pnar et tous les projets et programmes acquis,
en négociation, ou au stade de requête de financement auprès d’un
bailleur de fonds, qui ont été identifiés. Dans le cadre de la mise en
œuvre du Pracas et en référence au Pse, a-t-il précisé, la vallée peut
être un pôle économique viable du fait de ces atouts et opportunités.
C’est pourquoi elle est considérée comme l’un des principaux corridors
céréaliers et un important levier de développement agro-industriel.
Il a particulièrement insisté sur les importants investissements notés dans la vallée, avec des infrastructures routières, hydro-agricoles, sur un potentiel irrigable de 240.000 ha dont 120.000 ha aménagés et répartis entre les régions de Saint-Louis, Matam et le département de Bakel. L’Etat s’est également engagé à réaliser des infrastructures structurantes de dernière génération pour une garantie d’accès à l’eau, une protection contre les crues, un exutoire de drainage. Ces importantes réalisations, a-t-il enfin souligné, font que la vallée constitue un pôle d’attraction des investisseurs nationaux comme étrangers. En soutien à l’agriculture irriguée de la vallée, près de 200 milliards de FCfa sont financés par les partenaires techniques et financiers, compte non tenu des financements Bci dans le cadre du volet riz du Pracas (19,1 milliards pour la vallée en 2014).
avec http://www.lesoleil.sn
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