Le Rôle de la diplomatie parlementaire en Afrique : Un potentiel de dialogue
Déclinée à l’occasion de la célébration de la journée internationale de
la Femme, sous l’intitulée « autonomisation des femmes, autonomisation
de l’humanité ».
Déclinée à l’occasion de la célébration de la journée internationale de
la Femme, sous l’intitulée « autonomisation des femmes, autonomisation
de l’humanité », avec pour objectif de pouvoir participer à la vie
politique, acquérir une éducation, bénéficier de revenus, et vivre dans
des sociétés exemptes de violence et de discrimination, la réunion de la
commission législative du Parlement panafricain à laquelle participe le
Parlement algérien, entre dans le cadre de l’action mondiale menée en
faveur de l’autonomisation économiques des femmes.
Elle est issue de l’initiative dans laquelle se sont engagés les Etats et gouvernements du monde, et intervient au moment où un nouveau programme de développement est en train de prendre forme pour remplacer les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) qui a été pour rappel, à savoir les Objectifs du développement durable (ODD).
Ces nouveaux ODD tracés dans le cadre du travail d’ONU/Femmes visent à trouver une solution à chacun des 12 domaines critiques que rencontrent les femmes et les filles du monde entier, comportent une vision d’un monde où chaque femme et chaque fille peuvent exercer leurs choix, pouvoir participer à la vie politique, acquérir une éducation, bénéficier de revenus, et vivre dans des sociétés exemptes de violence et de discrimination. Ce sont des thématiques pour lesquelles des réunions et des conférences régionales pilotées par le système spécial des Nations unies pour le développement que les parlements des pays, les assemblées continentales et l’Assemblée des Nations unies œuvrent à aider à les promouvoir.
Et pour atteindre ces objectifs, les instances parlementaires ont été mises à contribution au plan de la législation, des domaines interpellant des actions parlementaires.
C’est dans ce cadre que de nombreuses réunions ont été organisées, notamment durant le premier semestre de l’année 2015, avec le but de défricher les thématiques en question et renforcer l’action des Nations unies pour atteindre ces objectifs aux niveaux mondial, régional et national.
C’est aussi dans ce contexte qu’intervient la participation de l’Algérie à travers son parlement avec ses deux chambres, aux travaux des différentes instances, commissions et instances de consultation.
A ce titre, le parlement algérien prend part à la réunion de la commission législative du parlement panafricain à Midrand, représenté par une délégation parlementaire du Conseil de la nation, dont les travaux se tiennent depuis hier à Midrand en Afrique du Sud qui abrite le siège du Parlement panafricain. Ce dernier est, pour rappel, l’assemblée consultative de l’Union africaine, l’organisation continentale regroupant 53 pays.
Les travaux de la réunion de la commission législative se déroulent sous la thématique consacrant « 2015, comme année de l’autonomisation de la femme et du développement pour réaliser l’agenda africain 2063 à propos des Objectifs du millénaire pour le développement.»
L’investissement dans l’autonomisation économique des femmes est la voie la plus sûre vers l’égalité des sexes, l’éradication de la pauvreté et une croissance économique inclusive. Les femmes apportent une contribution énorme à l’économie, que ce soit au sein des entreprises, dans les exploitations agricoles, comme entrepreneuses ou employées, ou par leur travail non rémunéré à la maison, où elles s’occupent de leurs familles.
Inscrits dans les Objectifs du millénaire, des programmes sur le leadership et la participation en faveur de la représentation des femmes ont fait l’objet d’une série de réunions à l’échelle États arabes et en Afrique du Nord, tenues au Caire en Egypte, au Liban, en Jordanie ou encore en Tunisie avec la participation des parlementaires algériennes. D’autres réunions similaires se sont tenues à l’échelle africaine, en Ethiopie, au Cap en Afrique du Sud, suivies de celle de la commission législative du parlement panafricain qui abrite les travaux.
Du rôle des législations nationales dans l’égalité des chances à l’emploi
Les Objectifs du millénaire pour le développement économique durable et la défense des libertés s’inscrivent dans l’amélioration des législations nationales pour garantir le juste accès des femmes à la vie politique et leur implication dans les processus électoraux. Ils mesurent entre autres les progrès en faveur de l’égalité des sexes par la proportion des sièges parlementaires occupés par des femmes en aidant celles qui souhaitant exercer un mandat politique à développer leurs compétences par l’organisation de programmes d’éducation civique et de sensibilisation des électeurs à l’égalité des sexes. La défense de l’égalité appelant les partis politiques, les gouvernements et d’autres parties prenantes à assumer leur part de responsabilité dans l’autonomisation des femmes. D’autres initiatives sont initiées, destinées aux jeunes les encourageant à prendre part à l’élaboration des politiques publiques.
Le chapitre relatif à l’investissement dans l’autonomisation économique des femmes a été jugé la voie la plus sûre vers l’égalité des sexes, l’éradication de la pauvreté et une croissance économique inclusive, faisant en sorte que les femmes apportent une contribution énorme à l’économie, au sein des entreprises, dans les exploitations agricoles, comme entrepreneuses ou employées, ou par leur travail non rémunéré à la maison, où elles s’occupent de leurs familles. Ce sont des Objectifs intervenant conformément aux engagements internationaux, notamment le programme d’action de Beijing, la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et une série de conventions relatives à l’égalité des sexes ont été adoptées par l’OIT. Cela contribue également de manière significative au développement économique et durable.
Ces programmes mis en œuvre avec la contribution des organisations locales et de la société civile, participent à l’amélioration de la capacité des femmes à obtenir des emplois décents, à accumuler des actifs et à influencer les institutions et les politiques publiques qui déterminent la croissance et le développement, notamment les femmes en milieu rural. Inscrit parmi les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et ceux du développement durable (ODD), le principe d’autonomisation des femmes, en contribution avec le concours des Etats et des autres partenaires et les programmes des Nations unies pour le développement (PNUD), œuvrent au niveau de la famille et de la société afin agir sur les chances d’accès à l’emploi, c’est-à-dire au marché du travail et à la vie politique au niveau de la représentation parlementaire en faveur de la progression de la proportion des sièges aux femmes.
Dans le but de développer ces principes, des règles ont été établies comme celle d’avoir une direction favorable à l’égalité des sexes au plus haut niveau des entreprises, de traiter tous les hommes et les femmes de manière équitable au travail (respecter et appuyer les droits de l’homme et la non-discrimination, garantir la santé, la sécurité et le bien-être des travailleurs des deux sexes, de promouvoir l’éducation, la formation et le développement professionnel des femmes).
Le but est de donner aux femmes les moyens de participer pleinement à la vie économique dans tous les secteurs afin d’édifier des économies solides, de réaliser les Objectifs internationaux de développement et de durabilité, une façon d’améliorer la qualité de vie des femmes, des hommes, des familles et des communautés. Ces vérités s’appuient, selon des recherches actuelles qui démontrant que la diversité de genre aide les entreprises à réaliser de meilleurs résultats soulignant que l’intérêt personnel et l’intérêt commun peuvent aller de pair et ceci grâce à des actions et des politiques nécessaires destinées à encourager les talents, les compétences et l’énergie des femmes, et des postes exécutifs à la production industrielle et à la chaîne logistique.
C’est dans ce cadre qu’intervient la thématique en débat au sein des instances régionales et internationales.
Inscrits dans le cadre des engagements du programme des Nations unies pour la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et le pacte des Nations unies pour le développement durable (PDD), les réunions concernant les programmes de l’ONU-Femmes, sur le leadership et la participation de la représentation des femmes, ceux relatifs aux programmes d’actions pour la participation équitable dans le marché du travail et à l’accès à l’emploi, notamment l’autonomisation économique des femmes, dont les travaux de la commission législative du parlement panafricain qui se déroulent en Afrique du Sud, constituent des manifestations tangibles qui engagent les Etats africains à réfléchir sur de nouvelles législations.
avec http://www.elmoudjahid.com (Houria Akram)
Elle est issue de l’initiative dans laquelle se sont engagés les Etats et gouvernements du monde, et intervient au moment où un nouveau programme de développement est en train de prendre forme pour remplacer les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) qui a été pour rappel, à savoir les Objectifs du développement durable (ODD).
Ces nouveaux ODD tracés dans le cadre du travail d’ONU/Femmes visent à trouver une solution à chacun des 12 domaines critiques que rencontrent les femmes et les filles du monde entier, comportent une vision d’un monde où chaque femme et chaque fille peuvent exercer leurs choix, pouvoir participer à la vie politique, acquérir une éducation, bénéficier de revenus, et vivre dans des sociétés exemptes de violence et de discrimination. Ce sont des thématiques pour lesquelles des réunions et des conférences régionales pilotées par le système spécial des Nations unies pour le développement que les parlements des pays, les assemblées continentales et l’Assemblée des Nations unies œuvrent à aider à les promouvoir.
Et pour atteindre ces objectifs, les instances parlementaires ont été mises à contribution au plan de la législation, des domaines interpellant des actions parlementaires.
C’est dans ce cadre que de nombreuses réunions ont été organisées, notamment durant le premier semestre de l’année 2015, avec le but de défricher les thématiques en question et renforcer l’action des Nations unies pour atteindre ces objectifs aux niveaux mondial, régional et national.
C’est aussi dans ce contexte qu’intervient la participation de l’Algérie à travers son parlement avec ses deux chambres, aux travaux des différentes instances, commissions et instances de consultation.
A ce titre, le parlement algérien prend part à la réunion de la commission législative du parlement panafricain à Midrand, représenté par une délégation parlementaire du Conseil de la nation, dont les travaux se tiennent depuis hier à Midrand en Afrique du Sud qui abrite le siège du Parlement panafricain. Ce dernier est, pour rappel, l’assemblée consultative de l’Union africaine, l’organisation continentale regroupant 53 pays.
Les travaux de la réunion de la commission législative se déroulent sous la thématique consacrant « 2015, comme année de l’autonomisation de la femme et du développement pour réaliser l’agenda africain 2063 à propos des Objectifs du millénaire pour le développement.»
L’investissement dans l’autonomisation économique des femmes est la voie la plus sûre vers l’égalité des sexes, l’éradication de la pauvreté et une croissance économique inclusive. Les femmes apportent une contribution énorme à l’économie, que ce soit au sein des entreprises, dans les exploitations agricoles, comme entrepreneuses ou employées, ou par leur travail non rémunéré à la maison, où elles s’occupent de leurs familles.
Inscrits dans les Objectifs du millénaire, des programmes sur le leadership et la participation en faveur de la représentation des femmes ont fait l’objet d’une série de réunions à l’échelle États arabes et en Afrique du Nord, tenues au Caire en Egypte, au Liban, en Jordanie ou encore en Tunisie avec la participation des parlementaires algériennes. D’autres réunions similaires se sont tenues à l’échelle africaine, en Ethiopie, au Cap en Afrique du Sud, suivies de celle de la commission législative du parlement panafricain qui abrite les travaux.
Du rôle des législations nationales dans l’égalité des chances à l’emploi
Les Objectifs du millénaire pour le développement économique durable et la défense des libertés s’inscrivent dans l’amélioration des législations nationales pour garantir le juste accès des femmes à la vie politique et leur implication dans les processus électoraux. Ils mesurent entre autres les progrès en faveur de l’égalité des sexes par la proportion des sièges parlementaires occupés par des femmes en aidant celles qui souhaitant exercer un mandat politique à développer leurs compétences par l’organisation de programmes d’éducation civique et de sensibilisation des électeurs à l’égalité des sexes. La défense de l’égalité appelant les partis politiques, les gouvernements et d’autres parties prenantes à assumer leur part de responsabilité dans l’autonomisation des femmes. D’autres initiatives sont initiées, destinées aux jeunes les encourageant à prendre part à l’élaboration des politiques publiques.
Le chapitre relatif à l’investissement dans l’autonomisation économique des femmes a été jugé la voie la plus sûre vers l’égalité des sexes, l’éradication de la pauvreté et une croissance économique inclusive, faisant en sorte que les femmes apportent une contribution énorme à l’économie, au sein des entreprises, dans les exploitations agricoles, comme entrepreneuses ou employées, ou par leur travail non rémunéré à la maison, où elles s’occupent de leurs familles. Ce sont des Objectifs intervenant conformément aux engagements internationaux, notamment le programme d’action de Beijing, la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et une série de conventions relatives à l’égalité des sexes ont été adoptées par l’OIT. Cela contribue également de manière significative au développement économique et durable.
Ces programmes mis en œuvre avec la contribution des organisations locales et de la société civile, participent à l’amélioration de la capacité des femmes à obtenir des emplois décents, à accumuler des actifs et à influencer les institutions et les politiques publiques qui déterminent la croissance et le développement, notamment les femmes en milieu rural. Inscrit parmi les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et ceux du développement durable (ODD), le principe d’autonomisation des femmes, en contribution avec le concours des Etats et des autres partenaires et les programmes des Nations unies pour le développement (PNUD), œuvrent au niveau de la famille et de la société afin agir sur les chances d’accès à l’emploi, c’est-à-dire au marché du travail et à la vie politique au niveau de la représentation parlementaire en faveur de la progression de la proportion des sièges aux femmes.
Dans le but de développer ces principes, des règles ont été établies comme celle d’avoir une direction favorable à l’égalité des sexes au plus haut niveau des entreprises, de traiter tous les hommes et les femmes de manière équitable au travail (respecter et appuyer les droits de l’homme et la non-discrimination, garantir la santé, la sécurité et le bien-être des travailleurs des deux sexes, de promouvoir l’éducation, la formation et le développement professionnel des femmes).
Le but est de donner aux femmes les moyens de participer pleinement à la vie économique dans tous les secteurs afin d’édifier des économies solides, de réaliser les Objectifs internationaux de développement et de durabilité, une façon d’améliorer la qualité de vie des femmes, des hommes, des familles et des communautés. Ces vérités s’appuient, selon des recherches actuelles qui démontrant que la diversité de genre aide les entreprises à réaliser de meilleurs résultats soulignant que l’intérêt personnel et l’intérêt commun peuvent aller de pair et ceci grâce à des actions et des politiques nécessaires destinées à encourager les talents, les compétences et l’énergie des femmes, et des postes exécutifs à la production industrielle et à la chaîne logistique.
C’est dans ce cadre qu’intervient la thématique en débat au sein des instances régionales et internationales.
Inscrits dans le cadre des engagements du programme des Nations unies pour la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et le pacte des Nations unies pour le développement durable (PDD), les réunions concernant les programmes de l’ONU-Femmes, sur le leadership et la participation de la représentation des femmes, ceux relatifs aux programmes d’actions pour la participation équitable dans le marché du travail et à l’accès à l’emploi, notamment l’autonomisation économique des femmes, dont les travaux de la commission législative du parlement panafricain qui se déroulent en Afrique du Sud, constituent des manifestations tangibles qui engagent les Etats africains à réfléchir sur de nouvelles législations.
avec http://www.elmoudjahid.com (Houria Akram)
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