Cinq malédictions dans le monde du sport
Une chèvre, des buts "mortels", des
déclarations malchanceuses... Certaines équipes sportives ont tenté de
briser la malédiction par tous les moyens !
1. L'étrange malédiction de Benfica
Connaissez-vous la malédiction Bela Guttman? Tous les supporters du Benfica maudissent à tout jamais leur ancien entraîneur. C'est simple: le club lisboète ne s'est plus imposé en Europe depuis 1962. Un hasard? Pas vraiment. C'est la malédiction Bela Guttman. En quittant Lisbonne en pleine gloire pour un différend financier, ce coach hongrois lâche la phrase maudite suivante: "Sans moi, le Benfica ne gagnera plus une finale européenne."
Six finales européennes perdues
Résultat des courses: le club lisboète a perdu cinq finales de C1 (63, 65, 68, 88, 90) et une coupe UEFA (83 contre le Sporting Anderlecht). Même Eusébio en personne est venu demander pardon sur sa tombe. Rien n'y fait !
2. La malédiction du Bambino
En 1919, Babe Ruth, joueur vedette des Red Sox, est surnommé le "Bambino". Il se prépare à être transféré chez les Yankees de New York. La vente de Babe Ruth permettra à Harry Frazee (nouveau propriétaire des Boston Red Sox) de financer une comédie musicale à Broadway.
Pendant 86 ans, les Red Sox de Boston ne gagneront pas un seul championnat ! Ils attendront même 27 ans avant d'atteindre une finale. Pendant ce temps, Babe Ruth fera le bonheur des Yankees (4 titres).
Le duel Red Sox/Yankees est l'un des plus populaires aux États-Unis. Les fans de Boston ont essayé à plusieurs reprises de renverser cette malédiction en allant jusqu'à placer une casquette des Red Sox au sommet de l'Everest !
La fin de la malédiction a pris fin en 2004. Boston remportera le titre face aux Cardinaux de Saint Louis.
3. La couverture de Sports Illustrated
Aux États-Unis, il se dit que faire la une de Sports Illustrated n'est pas bon signe. Les exemples ne manquent pas: les Cleveland Indians en ont fait la cruelle expérience avant de perdre 101 matches en une saison.
Le pilote NASCAR, Pat O'Connor, a perdu la vie après avoir fait la couverture du célèbre magazine américain.
4. La chèvre de Billy Goat
C'est une superstition associée aux Cubs de Chicago (baseball). Cette malédiction s'est abattue sur les Cubs le 6 octobre 1945.
Billy Sianis, un commerçant de Chicago, propriétaire d'une chaîne de tavernes nommée "Billy Goat Tavern", assiste à un match de Série mondiale en compagnie d'une chèvre ("goat" ou "billy goat" en anglais) domestiquée.
Mais l'odeur de l'animal dérange les spectateurs. Du coup, Billy Sianis, furieux, quitte le stade en déclarant: Them Cubs, they aren't gonna win no more ("Ces Cubs, ils ne gagneront plus jamais").
Les Cubs perdirent la finale face aux Tigers de Detroit en 1945. Pire encore: Chicago n'a plus jamais accédé à la Série mondiale !
5. La malédiction de Ramsey
Pour résumer: Dès qu'Aaron Ramsey (le joueur d'Arsenal) trouve le chemin des filets, une célébrité décède. Les cas sont nombreux: Oussama Ben Laden, Steve Jobs, Mouammar Kadhafi, Whitney Houston, Ken Norton...
1. L'étrange malédiction de Benfica
Connaissez-vous la malédiction Bela Guttman? Tous les supporters du Benfica maudissent à tout jamais leur ancien entraîneur. C'est simple: le club lisboète ne s'est plus imposé en Europe depuis 1962. Un hasard? Pas vraiment. C'est la malédiction Bela Guttman. En quittant Lisbonne en pleine gloire pour un différend financier, ce coach hongrois lâche la phrase maudite suivante: "Sans moi, le Benfica ne gagnera plus une finale européenne."
Six finales européennes perdues
Résultat des courses: le club lisboète a perdu cinq finales de C1 (63, 65, 68, 88, 90) et une coupe UEFA (83 contre le Sporting Anderlecht). Même Eusébio en personne est venu demander pardon sur sa tombe. Rien n'y fait !
En 1919, Babe Ruth, joueur vedette des Red Sox, est surnommé le "Bambino". Il se prépare à être transféré chez les Yankees de New York. La vente de Babe Ruth permettra à Harry Frazee (nouveau propriétaire des Boston Red Sox) de financer une comédie musicale à Broadway.
Pendant 86 ans, les Red Sox de Boston ne gagneront pas un seul championnat ! Ils attendront même 27 ans avant d'atteindre une finale. Pendant ce temps, Babe Ruth fera le bonheur des Yankees (4 titres).
Le duel Red Sox/Yankees est l'un des plus populaires aux États-Unis. Les fans de Boston ont essayé à plusieurs reprises de renverser cette malédiction en allant jusqu'à placer une casquette des Red Sox au sommet de l'Everest !
La fin de la malédiction a pris fin en 2004. Boston remportera le titre face aux Cardinaux de Saint Louis.
Aux États-Unis, il se dit que faire la une de Sports Illustrated n'est pas bon signe. Les exemples ne manquent pas: les Cleveland Indians en ont fait la cruelle expérience avant de perdre 101 matches en une saison.
Le pilote NASCAR, Pat O'Connor, a perdu la vie après avoir fait la couverture du célèbre magazine américain.
C'est une superstition associée aux Cubs de Chicago (baseball). Cette malédiction s'est abattue sur les Cubs le 6 octobre 1945.
Billy Sianis, un commerçant de Chicago, propriétaire d'une chaîne de tavernes nommée "Billy Goat Tavern", assiste à un match de Série mondiale en compagnie d'une chèvre ("goat" ou "billy goat" en anglais) domestiquée.
Mais l'odeur de l'animal dérange les spectateurs. Du coup, Billy Sianis, furieux, quitte le stade en déclarant: Them Cubs, they aren't gonna win no more ("Ces Cubs, ils ne gagneront plus jamais").
Les Cubs perdirent la finale face aux Tigers de Detroit en 1945. Pire encore: Chicago n'a plus jamais accédé à la Série mondiale !
Pour résumer: Dès qu'Aaron Ramsey (le joueur d'Arsenal) trouve le chemin des filets, une célébrité décède. Les cas sont nombreux: Oussama Ben Laden, Steve Jobs, Mouammar Kadhafi, Whitney Houston, Ken Norton...
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