Le Sénégal adopte le Protocole de la CEDEAO sur la lutte contre la corruption
Le Protocole de la Communauté économique des États de l’Afrique de
l’ouest (CEDEAO) relatif à la lutte contre la corruption a été
unanimement adopté, jeudi à Dakar, par les députés assemblée nationale
sénégalaise.
« Le gouvernement du Sénégal a la ferme volonté de lutter contre la corruption. C’est pourquoi, nous voulons disposer des règlements juridiques nationaux et internationaux prévus à cette fin », a dit Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur qui défendait le texte.
Les dispositions de ce protocole de la CEDEAO couvrent l’extradition, la communication d’informations financières, les douanes et l’immigration, la gestion informatisée et les processus judiciaires. Le document sert également de cadre sous-régional pour la lutte contre cette pratique.
Au Sénégal, l’actuel régime a inscrit parmi ses priorités, la lutte contre la corruption, en renforçant l’office de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC), l’Inspection générale d’état, et en ressuscitant la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Cette dernière a condamné Karim Wade, ancien ministre libéral et fils de l’ex président, à 6 ans de prison et à une amende de 147 milliards de FCFA pour enrichissement illicite.
« Le gouvernement du Sénégal a la ferme volonté de lutter contre la corruption. C’est pourquoi, nous voulons disposer des règlements juridiques nationaux et internationaux prévus à cette fin », a dit Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur qui défendait le texte.
Les dispositions de ce protocole de la CEDEAO couvrent l’extradition, la communication d’informations financières, les douanes et l’immigration, la gestion informatisée et les processus judiciaires. Le document sert également de cadre sous-régional pour la lutte contre cette pratique.
Au Sénégal, l’actuel régime a inscrit parmi ses priorités, la lutte contre la corruption, en renforçant l’office de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC), l’Inspection générale d’état, et en ressuscitant la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Cette dernière a condamné Karim Wade, ancien ministre libéral et fils de l’ex président, à 6 ans de prison et à une amende de 147 milliards de FCFA pour enrichissement illicite.
avec APA
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