Un Sénégal apaisé : cheval de bataille de Adrien Bacourine, relais-facilitateur national auprès des autorités étatiques
‘’Démarcher la gestion de proximité au
quotidien des concitoyens dans leur diversité culturelle et confessionnelle, ou
associations, dans bien des domaines de la vie publique’’, telle est la mission
que s’est assigné Adrien Bacourine, facilitateur national auprès des autorités
étatiques pour le renforcement de la démocratie.
A l’occasion de la conférence de presse
qu’il a tenu, ce vendredi 08 avril 2015, dans un hôtel de la place à l’endroit
de l’opinion nationale et internationale, Adrien Bacourine a campé le décor sur
sa nouvelle posture au service du peuple sénégalais dans sa diversité
culturelle et professionnelle depuis le 24 Juin 2012 par une démarche citoyenne
et ce en collaboration avec les autorités étatiques ; religieuses,
coutumières et traditionnelles du pays.
Il a par ailleurs, informé l’assistance du ‘’dépôts du premier rapport d’activité sur la table de son Excellence Monsieur SALL, Président de la
République le 08 Septembre 2014 et la
réponse qui s’en est suivie quinze (15) jours après, le 22 Septembre 2014’’.
Non sans évoquer sa dernière sortie auprès des ‘’jeunes
de la communauté « manjaque » de Dakar de l’association « Kajer
manjaku » aux côtés des dignitaires de ladite communauté à la tête
desquels le Président Mamadou Gomis Nafoulé, et le message qu’il y a livré’’.
M . BACOURINE ‘’a démarré ses activités
citoyennes au profit de l’Etat et du peuple Sénégalais au mois de Juin 2012 à
Ziguinchor où, avec son équipe, il a pris part à l’organisation et à l’accueil
des autorités étatiques à l’occasion du Conseil des Ministres délocalisé tenu
dans la capitale du Sud les 26 et 27 Juin 2012’’, a-t-il précisé dans le
communiqué de presse.
‘’Les actions se poursuivent avec
intensité car les sollicitations pour la facilitation auprès des autorités
étatiques deviennent de plus en plus nombreuses sur son bureau du fait de cette grande marque d’attention du
Président Macky SALL’’, a conclu M. Bacourine.
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